Charlie Adams

Physionomie : « Un corps sain… »
Le jeune homme est taillé de façon athlétique par ses heures d’entrainement quotidien variant entre jogging et musculation et une fois par semaine un sport différent. Ca ne vaut certes pas les bodybuilders mais ce n’est pas là son ambition, il reste relativement svelte grâce à la course.
Il avoisine facilement le 1m85.
Passé ce corps dont il prend soin, Charlie est un homme relativement normal, ses traits sont harmonieux sans pour autant en faire un sex-symbol. Ses yeux bruns relativement expressifs et brillants de malice sont souvent masqués par des cheveux blonds qui tombent en mèches abimées sur son visage. Son regard est le plus souvent accueillant, engageant, et accompagné d’un sourire qui l’est tout autant. En effet ses lèvres semblent fières de constamment arborer un sourire, fin ou radieux, joyeux ou cynique, bienveillant ou moqueur, sourire relevé par un grain de beauté surplombant le coin gauche de ses lèvres.
Tantôt fier, tantôt nonchalant, tout dans sa façon de se tenir révèle l’aisance qu’il semble avoir dans la vie.

Vêtements : Charlie a une garde-robe que l’on peut qualifier de variée. S’y côtoient vêtements en tout genre, du survêtement au costume. Parlons donc d’une journée type, ou plutôt une journée extrêmement longue et trop chargée pour être réelle mais permettant de passer en revue ces diverses tenues…
Au lever, Charlie enfile un pantalon survêtement ou un short les jours de beau temps ainsi qu’il t-shirt (qu’il soit ample ou au contraire près du corps) et une bonne paire de baskets. Vous l’aurez compris, c’est pour le sport. Cette même tenue il pourra la reprendre plus tard dans la journée, sur le coup de 18h environ. Après une bonne douche et pour un instant de détente il opte pour un t-shirt ou une chemise décontractée avec le plus souvent un jean. Pour quelques sorties, fac ou encore casino, il revêt une chemise plus habillée qu’il accompagne parfois d’un chapeau de feutre qu’il aime mettre pour le petit côté fantaisiste qu’il donne. Enfin, soyons utopique, lors de réceptions ou bal de promotion (auquel il n’ira jamais) c’est le costume noir et blanc (pingouin dira-t-il) qui se voit porté.
Question couleurs, il porte très peu de couleurs voyantes (excepté un t-shirt de sport jaune vif) et se plait à mettre toutes les nuances de gris (notamment anthracite), du blanc au noir, ainsi que du beige au brun. Les bleus, pâles ou grisés, font également partis de sa garde robe. On dénote aussi quelques rouges dans les t-shirts.
Il porte assez souvent un anneau d’argent avec une chaînette à son cou.

Signe Distinctif : Le grain de beauté au dessus du coin gauche de ses lèvres et une légère cicatrice sur la clavicule du même côté due à une ancienne fracture ouverte.


Psychologie : « … dans un esprit sain. » Ou pas.
Même si tout tend à montrer le contraire, Charlie ne colle pas tant que ça à cette célèbre et antique citation. Les voisins peuvent le dire : il a tout pour réussir ! Sa famille aisée et très old school l’a élevée selon des principes stricts, dont travail, persévérance, famille, patrie, et j’en passe. Il a eu le destin tout tracé de l’homme respecté, son père lui ayant inculqué que la société juge sur les actes et non sur la personne… l’envoyant tout droit vers une grande école pour plus tard pouvoir travailler dans les banques. Sauf que Charlie est quelqu’un qui a besoin de se dépenser encore et toujours, sans pour autant être hyperactif et lui c’est entraîneur sportif qu’il voulait être étant gosse. Bien vite désillusionné il s’est tourné vers un style de vie plus « relax », loupant des cours et travaillant peu.
Oui, c’est quelqu’un de très bon lorsqu’il s’agit de relations humaines. Souriant, bon vivant, d’apparence honnête et très persévérant… mais uniquement quand il le veut, et ça les voisins ne l’auront pas forcement vu.
S’il ne pouvait briller par ses études, il le pouvait par l’argent. Jouer un peu, puis plus… la fièvre de l’attente, l’adrénaline, l’excitation du gain, les rencontres…
Et une fois qu’on a plus de quoi payer ses pertes, ni de quoi miser ? Pas question de rentrer queue entre les pattes pour demander à Papa. C’est là que le côté hautement débrouillard du gaillard se dévoile et le loustique ira dénicher quelques petits boulots plus ou moins honnêtes, et si pas il ira se trouver des sous tout seul.

Outre ces petits aspects gênants et d’un point de vue plus neutre, c’est quelqu’un qui aime la vie et surtout se sentir vivant. Quoi de mieux que le sport pour ressentir son corps s’exprimer ?
Idéaliste, voire rêveur, il aime appréhender les choses du bon côté.
Enfin, un autre de ses loisirs quand il en a le temps : jouer de la guitare tout en chantant des airs de rock qui ont traversé le temps.

Qualités : Dynamique, sportif, futé, bon vivant, sociable, persévérant, débrouillard, idéaliste
Défauts : Peu studieux, joueur compulsif, menteur et voleur, peu patient, bordelique

Maladie Mentale : Joueur Compulsif

Karma : Neutre

Histoire : 1964, c’est l’année où la première pierre de la maison Adams fut posée. Il avait fallu des années, des générations de labeurs pour amasser le budget nécessaire à la construction de la future grande demeure familiale sans trop entamer le compte bancaire, et le compte bancaire, ça les Adams connaissaient bien. Depuis de nombreuses décennies cette famille anglaise envoie ses fils sur les traces de leurs aïeuls dans une banque qui aurait pu être familiale si elle avait été dirigée par eux. Commençants il y a bien longtemps au bas de l’échelle, certains d’entre eux arrivèrent à force de persévérance à des places inespérées. Ce fut le cas d’Edward Adams, directeur adjoint, qui en cette année 1964 posait enfin la pierre de sa future demeure. Vieux et atteint d’un cancer, l’homme légua quelques années après le fruit de son travail à son fils, Victor, qui vint s’installer avec sa compagne Pénélope.
C’est en cette maison que naquit Charlie, un matin d’automne.
Suite à la naissance de l’enfant, sa mère cessa de travailler pour s’occuper de son éducation, les revenus de Victor Adams ainsi que l’héritage familial suffisant amplement à leurs besoins. Ce fut donc très tôt que l’enfant appris à marcher, parler, ou même lire, avant de connaitre les bancs de l’école. Pouvant ainsi se mouvoir à son aise et communiquer avec ses sujets (ou jouets) de façon claire, Charlie fit de cette grande bâtisse son château, son royaume s’étendant au bas des murs jusqu’aux confins du jardin. Son domaine, il le connaissait comme sa poche, et les années passant, mieux que quiconque… du grenier où s’amassaient les trésors oubliés à la cave humide et mystérieuse. Les cachettes s’offraient à lui par millier et son imagination fertile d’enfant le faisait explorateur de tours gardées par des sorciers ou de grottes dans lesquelles un dragon gardait jalousement un magnifique trésor. Ses quêtes étaient malheureusement bien souvent interrompues par l’appel de sa mère quand l’heure venait d’aller manger, se coucher, faire ses devoirs ou encore aller à l’école. L’école… c’était presque la suite de ses aventures, là où il ralliait d’autres aventuriers à sa cause et où ils se mettaient à parcourir le monde. Bon élève, mais dissipé et surexcité disaient ses maîtres de classe.
Manger, dormir, là encore il pouvait continuer sa guerre aux petits pois dans son assiette ou affronter un dragon dans ses rêves. Non, la véritable plaie, la sentence, la punition, c’était quand venait l’heure de faire ses devoirs avec sa mère dans le dos. En effet cette dernière lui inculquait des valeurs bien loin de celles du preux chevalier sans peur ni reproches, aussi devait-elle quand il était jeune les tourner de façon tout autre pour qu’il daigne l’écouter et surtout appliquer. La patrie : le chevalier au service de son roi, la famille à protéger, le travail et la persévérance pour y arriver…
Manque de pot, le petit Charlie prit ces notions un peu au pied de la lettre ou plutôt comme ça l’arrangeait. Son roi c’était lui et il le servirait en bonne et due forme, et pour se faire il devait être fort. Il se mit au sport (enfin ce fut plutôt une « excuse » vu que cette discipline lui plaisait déjà beaucoup bien avant).

Les années défilant, les chevaliers affrontant les dragons ne firent plus partis de ses préoccupations. L’adolescent profita de son entrée au collège pour augmenter encore sa consommation sportive (autant en entraînement que compétitions, notamment en athlétisme). Les rencontres allants et la physionomie aussi, il se mit à découvrir la musique, dont le rock. Sensation de liberté, envie de plus… Par le biais d’amis il commença à apprendre à jouer de la guitare et à force de persévérance (puisqu’on lui rabâchait ce mot depuis l’enfance) il progressa vite et monta avec ces mêmes amis un petit groupe pour épater les camarades une fois au lycée.
Succès auprès des filles, réussite dans ses projets, que demander de plus ?
L’aval d’un père.
Victor Adams ne voyait pas l’évolution de son fils d’un œil aussi bienveillant. Déjà il entre-apercevait l’ombre de la débauche planer au dessus de son rejeton et c’était son travail de père de rectifier le tir.
D’abord diplomate, il dû ramener sur terre Charlie quand celui-ci lui annonça qu’il voulait devenir star de rock, puis par la suite cru défaillir en apprenant que de façon plus raisonnable et réfléchie son fils envisageait sérieusement de devenir entraîneur sportif. A force de mots appuyés et d’un soupçon de manipulation il lui fit rentrer dans le crâne qu’il aurait plus de succès en société s’il avait une vraie réussite sociale, et qu’entraîneur n’offrait pas ce genre de possibilités –il n’était surtout pas question qu’il laisse son fils s’éloigner de la « tradition » familiale-.
Charlie se trouva un peu désabusé lorsque son père lui apprit qu’il était inscrit à une prestigieuse école afin de reprendre la suite dans la banque. Adieu le grand air, bonjour les bureaux… Et pour la peine il se retrouvait en prime envoyé en pensionnat.

Dans un premier temps, il fit preuve de bonne volonté, après tout ce n’était peut-être pas si terrible que ça… Mais cinq mois passés, plus d’illusions. Ce monde n’était pas le sien. Plus le temps passait, moins il se montrait assidu aux cours, jusqu’à même aller à en sauter. Quand il n’allait pas courir dans les parcs ou à la salle de sport, il restait à jouer quelques airs de guitare dans sa chambre d’étudiant. Oui mais… quand son père apprendrait qu’il cessait de suivre ses cours, l’argent ne tomberait sûrement plus du ciel. Il lui fallait une autre alternative.
Ce fut Rob’, son ami et voisin de pallier qui lui proposa un jour de jouer de l’argent. L’idée bien que farfelue plu à Charlie et tout deux allèrent à un casino proche pour titiller la bonne fortune. Pour l’occasion le blond avait pris son anneau d’argent qu’il avait mis à une chaînette à son cou, bijou qu’il avait acquis au lycée et qui selon ses dires lui portait chance.
Le casino…quel monde à part ! Que de lumières, des gens de toute sorte, des dés, des jetons, des cartes, des machines… et de l’argent à la clé ! Pris par l’euphorie du jeu, par l’appât du gain, les deux jeunes anglais y passèrent la soirée et contre toute attente Charlie gagna près de 214$.
Pas plus de trois jours plus tard, il était de retour au casino pour miser ce qu’il avait gagné.

Dame Fortune est d’humeur changeante et elle ne décide pas tout le temps d’accompagner les jeunes freluquets. Tantôt ressortant avec quelques pièces, tantôt sans rien et avec un déficit, Charlie y retournait toujours et de plus en plus souvent. Il éprouvait un plaisir inexpliqué à jouer ainsi ce qu’il possédait, même si tout partait bien souvent en poussière. Bien souvent il s’en mordait les doigts, mais comment réussir à reprendre ce qu’il avait perdu si ce n’est en jouant à nouveau ? Pris dans ce cercle vicieux dont il n’arrivait à se défaire, Charlie se retrouva vite à court de sous et sans ça, impossible de se nourrir, ou de jouer. C’est dans ces moments que le jeune homme mit en œuvre quelques capacités –accompagnés de scrupules- pour gagner rapidement et efficacement de l’argent, de l’argent mal gagné, c’est certain… mais il en avait besoin.
Et même s’il savait que trop souvent il perdait, même si ça lui bouffait la vie et que plusieurs fois il avait cherché à arrêter, toujours il retournait parier. C’était devenu une drogue, un besoin.

Vos antécédents Dreamlandiens : Jamais vu, jamais vécu, ni même entendu parler.

Méthode d'introduction : Un matin comme les autres, le soleil perçant derrière les nuages. Enfin presque comme les autres… Plus de courbatures que les autres jours et mal dans le torse. Qu’importe, il irait courir. Pantalon de survêtement et t-shirt enfilé, le voici parti pour quelques kilomètres de course.
La nausée lui prit la gorge.
Pourquoi est-ce qu’il fatiguait comme ça ? Son cœur battait bien plus vite que d’habitude. Peut-être avait-il trop forcé sur l’entraînement la veille.
Passant le long des quais, une douleur fulgurante le cloua sur place. Son cœur… tout flou… plus rien. Il s’était effondré.

[Arrêt cardiaque – Coma]

Bienvenue =)

Yay bienvenue !!
Il m'a l'air très intéressant ton perso, c'est toujours... Particulier un joueur compulsif ! x)

Merci de votre accueil

Bienvenue parmi nous !

Comme ça semble la période ces derniers temps, voilà une jolie fiche avec rien à redire dessus. Si ça continue je vais devoir ranger ma règle en bois au placard faute d'avoir des doigts sur lesquels taper, hélas. Bref ! Tu es validé, rejoins le groupe des malheureux prisonniers et écope lors de ton passage à Dreamland du pouvoir suivant :

As dans la manche :
Une fois par jour/topic tu pourras tricher sur quelque chose avec succès (ton identité, tes droits, tes relations sociales) auprès d'une personne pour gagner jusque contre le destin qui accable tout voyageur. Mais cela n'est pas sans conséquences et entraine une fatigue sévère et de violents maux de tête. L'effet s'estompe après 1 message RP. Ne fonctionne pas pour les questions pécuniaires et celle de la survie d'autrui.

Spoiler:

Tu n’as plus qu’à ajouter ce pouvoir à ta feuille personnage après l’avoir généré depuis ton profil et créer ton topic bourse & sac-à-dos dans la partie du même nom avant d’accéder au RP. N’oublie pas que les voyageurs ne gardent sur eux que leurs vêtements lors du passage et que par conséquent lorsque tu apparaîtras à Elipse ce sera dépourvu de toutes possessions matérielles ou financières. Après un bref passage dans la ville une perturbation spatio-temporelle due à l’Exil massif de voyageur de transportera auprès de… *instants intenses de réflexion*… du joyeux groupuscule des criminels baby sitter. Enjoy !

Si tu as des questions sur ton pouvoir ou sur le forum en général n’hésite pas à m’envoyer un MP, les autres admins sont des feignasses. Surtout lui, au fond à droite :3

De la chair fraiche *w*
(officiellement bienvenu lol)

... Qui tu traites de criminel babysitter la mioche ? Redis-le moi en retira ta couronne de méduse un peu !

(kof kof...)

Merci beaucoup, voici un pouvoir qui va bien me plaire je le sens !

Allez c'est parti... A vos marques, prêt... clavier !

La violence est l'arme des faibles. D'ailleurs pour éviter une nouvelle diarrhée verbale de la part de nos repris de justice dans ce qui reste une fiche personnage et non un lieu de pugilat, je clôture ce topic.

(Oui je suis petite, peste, dictatoriale et je le vaux bien. Moi aussi je vous aime. Ou pas ?)