Aloïs Délarobia

Physionomie : Aloïs n’est pas un garçon très grand pour son âge, disons environ 1m 55. Son corps svelte est aussi fragile que celui d’une fillette et que dire de ses fines épaules. C’est un enfant qui ne sort pas beaucoup dehors à en juger par sa peau blanche et douce. Et puis ce visage efféminé au sourire angélique affiché sur des lèvres si fines qui attendrit tant les adultes, avec ces yeux bleus au regard d’enfant et ces cheveux d’un blond cendré sans pareil. Mais ceux-ci ne semble pas vouloir être coiffés à en juger par ce champ de bataille. En voilà un enfant bien étrange.

Vêtements : Qu’il est mignon dans cette chemise blanche. Et ce jean à la coupe fine qui lui donne l’élégance d’une colombe, s’arrêtant ainsi au-dessus du genou cela lui donne un air de petit enfant. Ces baskets noires et blanches, loin d’être grossières, sont si mignonnes elles aussi.

Signe Distinctif : Tiens ! Je vois qui se dessine sur sa peau une étrange marque, mais si regardez sur son ventre. Ah oui j’en avais entendu parler, la cicatrice d’une douloureuse opération. Une bactérie avait fait des ravages dans son appendice.


Psychologie : Mais en voilà un être bien dérangé. Mais qui est-il déjà ? Ah ! Ça y est, ça me revient ! Aloïs est comme qui dirait toqué. C’est un être d’une extrême gentillesse, cependant, il ne pense qu’à jouer et s’amuser. Il est totalement insouciant ce petit d’homme. Ce n’est qu’après coup qu’il se rend compte qu’il vient de faire une bêtise. Pourtant, il en sera tellement désolé. Il cherchera même à se rendre utile pour réparer sa faute. Mais au final, il ferait mieux de s’en abstenir car c’est un véritable éléphant dans un magasin de porcelaine, en gros… il a deux mains gauches.
Aloïs n’est pas très sérieux. Ce qu’il aime c’est l’imaginaire, l’extravagance. L’un de ses jeux préféré est de se travestir. Il trouve cela terriblement amusant. Mais ce n’est pas très bien perçu par les membres de sa famille et encore moins de ses camarades d’école ( en même temps ça peut se comprendre ). Pour cause, les garçons de sa classe le dénigrent. Mais Aloïs s’en fiche pas mal et ce n’est pas ce qui l’arrête.
La petite tête blonde est même férue de cuisine. Il ne sait pas l’expliquer lui-même mais il est doué. D’ailleurs, c’est le seul domaine dans lequel il excelle.
Sa maladresse n’est pas son seul défaut, il est aussi très poltron. Le courage est un mot qu’il a du mal à matérialiser.
Bon, dernière petite recommandation, Aloïs ne supporte pas d’être touché. Un exemple simple, si vous lui frôlez le bras, il sursautera immédiatement et s’éloignera de vous, parfois même en courant. Surtout, ne lui attrapez jamais le bras.


Qualités : Aloïs est un garçon très gentil, peut-être trop même, mais il aime également rendre service. Une autre grande qualité, qui choque la plupart des enfants de son âge et qu’Aloïs fait merveilleusement bien la cuisine.

Défauts : Trouillard et faible, voilà les défauts du cher enfant. Incapable de faire face à ses peurs, incapable de se défendre tout seul. Mais Aloïs est aussi doté d’une grande maladresse, s’en est affligeant.


Maladie Mentale : Une certaine forme de phobie de l’eau. Attendez que je vous explique. Notre petit ami ici présent, est obsédé par l’eau, mais surtout son contenu. Servez-lui donc un verre d’eau et observez. Il boira une gorgée, puis l’examinera avec attention avant de le laisser traîner sur un meuble ou un coin de table. Il dit y voir une poussière, un cheveu ou tout autre chose farfelue… en fait tout cela n’est que dans sa tête. Aloïs est persuadé que l’eau est contaminée. De ce fait, il n’entre jamais dans l’eau d’une piscine, d’un lac ou même d’une baignoire ( la douche ça existe, bien sûr qu’il se lave ). Ho ! J’allais oublier, ne soyez jamais tenté de l’asperger d’eau car cela pourrait avoir des répercutions catastrophiques. Enfin moi je dis ça… je ne dis rien, je n’existe même pas…

Karma : Bon

Histoire : Il était une fois dans un pays lointain, dans une forêt enchantée aux allures de… Ah… non c’est pas ça ? Non pas du tout… Excusez-moi, je me suis trompé d’histoire. Ça y est, je l’ai retrouvée ! Bon maintenant je commence, alors vous êtes prié d’éteindre vos portables et de faire silence.
C’est dans la soirée chaude d’un soir d’été, que naquit le petit Aloïs. Quel miracle que celui de la vie ! Le nouveau-né libéré, il se blottit contre la douce chaleur maternelle, tout en criant de ses nouveaux poumons. Ce bébé, si petit, si fragile, emplissait de fierté les yeux de sa mère. Soudain, il ouvrit les siens. Deux petites orbes d’un bleu pure et clair semblables à des pierres précieuses, qui fixaient inexorablement les pupilles de la femme. On dit qu’un lien invisible lie une mère à son enfant. Personnellement je ne pense pas que cela soit vrai. Cependant, l’enfant cessa de pleurer sous le regard de la femme, comme s’il avait compris qu’elle le protégeait. Cette scène est bien émouvante certes, mais les enfants grandissent.
10 ans plus tard, cette fois-ci dans une petite maison de campagne située en Californie, l’enfant qui faisait tant de bruit jadis, ne bougeait plus et ne disait mot. En y regardant de plus près, il semblait être tombé par terre. Mais ce n’est pas tout, l’une de ses mains était crispée à son ventre. Le garçon se tordait même de douleur et se mit bientôt à hurler. En entendant tout ce boucan, sa mère accourue et horrifiée par la scène, l’emmena directement à l’hôpital. Une appendicite, une infection très commune et qui d’ailleurs se soigne très bien. Voilà ce qu’avaient dit les médecins. Cependant, une opération était nécessaire. Aussitôt dit aussitôt fait, et l’enfant pu très vite retourner chez lui. Une opération soit disant sans complications. Eh bien les médecins de cet hôpital étaient mal renseignés. L’enfant commença à se comporter de façon étrange. Il disait que c’était à cause de l’eau. Pour lui, le fait qu’il ait eu cette infection était dû à l’eau. Il prenait un verre, buvait dedans puis le laissait encore à moitié plein. Bientôt cela devint carrément obsessionnel et le garçon le fit même à l’école. Il n’était déjà pas très apprécié à cause de son apparence très efféminée, mais là, les autres enfants commencèrent à l’insulter de fou et à se moquer de lui. Aloïs ne voulut plus aller à l’école. De toute façon cela devenait impossible car son toc et sa phobie de l’eau lui empêchaient tout et n’importe quoi. S’il pleuvait, il se mettait à paniquer et la piscine était bannie de son vocabulaire
Le jeune garçon suivit donc des cours à domicile. Mais cela n’arrangea pas son « problème ». Sa phobie devint de plus en plus… envahissante. Plus un seul recoin de la maison était épargné. C’était comme qui dirait l’invasion des verres d’eau. Et lorsqu’il pleuvait, bien que l’eau ne puisse pas rentrer, Aloïs s’enfermait dans un placard. Cela agaçait terriblement son frère aîné, qui ne pouvait pas le supporter. Ça devenait des sujets de disputes continuelles.
Puis, le jour fatal arriva. La petite famille partit en vacances à San Francisco, dans un hôtel charmant. Oui mais voila, il y avait une piscine, une grande et affreuse piscine. Les deux garçons partageaient la même chambre. Tout comme chez eux, des verres d'eau avaient envahi l'espace. Dans un coup de folie, le frère aîné d'Aloïs le saisit, l'emmena dans la cour et là... il commit l'irréparable. Il jeta le garçon dans l'eau froide de la piscine. Ce-dernier se débattit comme un dément. Il sentit son coeur s'emballer, suffoquer... mais il ne pouvait rien faire contre l'eau qui s'engouffrait inexorablement dans ses poumons. L'enfant coula peu à peu. Heureusement, un homme se précipita pour sauver Aloïs. Une ambulance amena le jeune garçon à l'hôpital. Il était tiré d'affaire...cependant, les médecins eurent une longue conversation avec sa mère. Le frère entra dans la chambre pour s'excuser, mais ce qu'il trouva le marqua au plus profond. Aloïs fixait le vide les yeux écarquillés et remplis de terreur, penché comme un corps sans vie au-dessus des draps blancs. Son frère le secoua par les épaules, mais il n'eut aucune réaction. Puis sa mère entra à son tour et lui expliqua tout. Le garçon avait fait un choc traumatique. Son corps était là, mais c'était comme si sa conscience s'était retranchée dans les profondeurs de son esprit.
Cependant, Aloïs se réveilla, il était là étendu sur le sol d'une rue. Il ne le savait pas encore, mais il était... à Dreamland.


Méthode d'introduction : Aloïs s'est retrouvé à Dreamland après un choc traumatique.

Bon, mon cher Aloïs, on va avoir plusieurs choses à se dire...
Viens auprès de tata Mel' mon petit.

Bienvenue chez les zinzins ! =)
Tout ne va pas mal hein ! La description physique en elle-même est tout à fait acceptable, et tu écris plutôt bien. Ce qui pêche le plus, ce sont des incohérences et illogismes... que je vais te détailler ci-contre :

Tout d'abord, au niveau des vêtements. Ce look est quand même relativement improbable, notamment pour un enfant de cet âge. S'il le fait une fois de temps en temps parce qu'il est fan de Visual kei, ou de mangas, ça va. Mais personne ne s'habillerait de la sorte tous les jours... à moins à la rigueur que sa mère soit une fétichiste du genre. ^^'
Mais bon...
Cela amène donc à la question de l'avatar. Tu devrais trouver un enfant habillé de façon plus "soft" qui correspondrait à la description.

Ton paragraphe de psychologie n'en est pas vraiment un. Tu parles surtout de ta maladie, mais tu n'évoques pas réellement le caractère d'Aloïs en lui-même. Cela se voit notamment puisque dans les qualités/défauts, on découvre des traits de personnalité dont tu n'avais pas parlé auparavant dans sa psychologie.

Au niveau de l'histoire, sa maladie est assez mal expliquée :s
Est-ce qu'il souffre prioritairement d'un TOC ou d'une phobie ? Comment le lien entre l’appendicite et l'eau a-t-il été fait ? Pourquoi se sert-il des verres d'eau s'il en a peur ? Il peut tout aussi bien boire du jus de fruit, du lait, des sodas...
Sur ce point, je te suggère :
- si tu souhaites garder exactement cette maladie, de revoir complètement son explication afin qu'elle soit plus logique.
- si tu souhaites garder plutôt l'histoire, il faut que tu transformes les symptômes de sa maladie. De même, définie plus clairement le lien causal qui se fait dans la tête d'Aloïs, et la pathologie dont il souffre exactement.

La méthode d'introduction est contradictoire...
Est-il un ancien patient de Parkinson ? (Cela implique qu'il ait pris rendez-vous chez le psychiatre et qu'il se réveille à San Francisco)
A-t-il subi un choc post-traumatique ?

Et enfin de manière générale, attention à l'orthographe ! Je te conseille d'utiliser microsoft word et bien entendu, de te relire. Ça permet d'éliminer la plupart des fautes.

Allez, courage courage, les portes du RP te seront ouverte dès que tu auras redresser ces quelques bases bancales^^ Tu veux aussi avoir un pouvoir aussi génial que celui de ta sœur hein =p

Ok. Bon bah je vais refaire tout ça alors. Par contre pour l'avatar, je ne connais pas du tout de personnes connues, c'est pourquoi j'ai choisi un cosplay et en plus j'adore cette image ^^.
Et puis, excuse moi de te le dire mais, contrairement à ce que tu semble penser, il y a des gens qui s'habillent comme ça au quotidien sans forcement être fétichiste... moi par exemple... donc je le prend un peu mal pour le coup.

C'est une expression peut-être mal choisie je te le concède, et aucunement dite pour te blesser, mais ça souligne juste le fait que concrètement tu prends des centaines de garçons de son âge tu n'en auras presque aucun avec ce look. Je dirais même qu'en me basant sur mon expérience personnelle (et un collège de 1200 personnes) il n'y en avait aucun. Donc rien n'expliquant ce choix, ça fait très décalé et on pouvait se demander si ce n'était pas juste pour faire "original". Après on porte ce qu'on aime, soit, mais ça tombe pas du ciel il faut bien découvrir ça quelque part alors si tu tiens à garder exactement cette description explique nous dans l'histoire comment il en est venu à apprécier ce look peu conventionnel

Mais si tu veux taper Melena vas-y te prive pas, depuis qu'elle peut kicker sur le chat elle se sent plus cette petite...

(Me tape pas Mel', tu m'aimes ne l'oublie pas !)

Comme je n'ai pas envie de revoir toute l'histoire, j'ai changé son style vestimentaire. J'ai édité ma fiche de présentation et j'y ai donc apporté toutes les modifications.

(Je ne taperai pas cette charmante demoiselle, j'ai horreur de la violence ^^ et moi aussi j'aime bien kicker xD)

Déjà Aloïs, bienvenue, Si tu cherche des personnalité pouvant représenté ton personnage, je peut toujours faire un genre de dictionnaire d'avatar

Cette fois Aloïs, j'ai l'honneur de te dire que... tu es validé ! =)
En tant que victime d'un choc traumatique, tu intègreras le groupe des "prisonniers" et tu commenceras directement à Dreamland. J'espère que tu as bien vu ici ce que ça implique.

Voici donc ton nouveau pouvoir... apprécie-le !

[gastro boy]
Aloïs pense que l'eau est contaminée ? Il a peut-être raison ! Désormais, chaque fois qu'il s'emparera d'un verre d'eau, celui-ci deviendra totalement imbuvable. Poussière, vase, et même petits nénuphars en cherchant bien. Il peut boire mais... attention à la gastro !

Tu peux dès maintenant l'ajouter à ta feuille de personnage et créer ton topic dans la section "bourse et sac à dos". C'est là-bas que tu devras répertorier au moins l'historique de tes rubz et de tes objets ; tu peux également y ajouter ce que tu veux. Tout y est réexpliqué, tu peux prendre modèle sur tes ainés qui l'ont déjà fait.

De plus, si jamais tu veux un parrain pour te guider dans tes premiers pas sur Hypnose : L'exil, signales-le. Son rôle sera de répondre à tes questions et à t'aider à faire de ce forum une terre familière.

Tu commenceras à RP ici, à Elipse (en compagnie de Eve et Cieline pour le moment). Tu peux également postuler aux jobs si jamais tu veux jouer sur plusieurs topics. Tu as le droits de cumuler 2 boulots.

Soit donc une nouvelle fois le bienvenu, et à bientôt =)

Le nom est de moi ! C'est classe non ? Je sais que tu m'aimes maintenant !

*repart courir dans un champs de pâquerettes*

Merci à tous.